Qui est Julia HLR ?
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre. Julia Haart (née le 11 avril 1971) est une créatrice de mode et entrepreneure américaine. Elle est l’ancienne PDG d’Elite World Group, une société qu’elle détenait en copropriété avec son ex-mari, Silvio Scaglia,
Qui est Julia de GMK ?
En Bref – Julia Bayonetta anciennement Julia Gameuse, est une streameuse gaming de 23 ans vivant à Marseille. Passionnée par les jeux-vidéo depuis son enfance, Julia commence à jouer Super Smash bros. Melee sur GameCube puis Budokai 3 qui reste son jeu de cœur.
Elle commencera très tôt sur internet avec une première chaîne YouTube en 2013 (13 ans à l’époque) avec du gaming du le jeu Call Of Duty : Black Ops 2. Rapidement, elle construit une communauté grâce au fait qu’elle joue au jeu le plus populaire de l’époque et qu’elle soit une fille féminine dans le milieu du gaming.
Julia Bayonetta commence le streaming sur Youtube aux alentours de 2015, mais il faudra attendre 2017 pour qu’elle fasse un transfert vers Twitch. En novembre 2016, elle ouvre une page « Tipee » pour recevoir de l’argent pour du matériel informatique (1 800 €), elle récoltera plus de 7 700 €, ce qui choquera les gens puisqu’elle était déjà populaire sur YouTube.
Le 27 novembre 2016, elle change son pseudo de Julia Gameuse pour devenir Julia Bayonetta, notamment car elle était victime d’énormément de messages haineux sur réseaux sociaux. On lui reprochait d’être une « Gameuse » juste pour attirer des gens et le fait qu’elle fasse des placements de produits douteux (paris sportifs / pronostiqueurs, jeu de Hentai) juste pour l’argent.
En mai 2018, Julia est victime d’une affaire de « Revenge Porn ». Des « photos dénudées » d’elle auraient circulés sur internet et aurait été mis en ligne par l’un de ses ex pour se venger. En septembre 2020, Julia se donne un nouveau départ en créant une nouvelle chaîne YouTube et en s’excusant des erreurs du passé.
Qui est Julia de Monaco ?
Julia de Nunez et Harlan Coben, stars au Festival TV de Monte-Carlo
La Française Julia De Nunez, interprète de Brigitte Bardot dans la série biopic diffusé sur France 2, a reçu la « Nymphe d’or internationale du meilleur espoir » vendredi soir à la cérémonie d’ouverture du 62e Festival de télévision de Monte-Carlo.L’écrivain américain Harlan Coben a pour sa part reçu un Diplôme d’honneur pour sa « contribution exceptionnelle à la littérature, aux arts et au divertissement dans le monde ».L’occasion pour lui de révéler qu’il avait déjà côtoyé SAS le Prince Albert II de Monaco sur les bancs d’une université américaine, il y a quarante ans.
Au Grimaldi Forum de Monaco, Au nombre de cris lancés par les fans postés devant le Grimaldi Forum, difficile de départager les cast des Anneaux de pouvoirs, de Ted Lasso ou encore des (inextinguibles) (50 ans cette année, s’il vous plaît). Il y avait du beau monde vendredi soir sur le premier tapis rouge du Des personnalités venues souvent de loin.
La vraie star de cette soirée d’ouverture était, elle, arrivée dans la Principauté en voisine. La Française Julia De Nunez, Brigitte plus que vraie que Bardot dans tout juste diffusé sur France 2, a reçu des mains de SAS le Prince Albert II de Monaco le tout premier prix de ces cinq jours de rencontres et de compétitions.
Un trophée récompensant un « talent exceptionnel ». Chapeau pour un premier rôle. La « Nymphe d’or internationale du meilleur espoir » en main, l’actrice de 23 ans a rendu un hommage appuyé à la cocréatrice de la série (avec son fils Christopher), la réalisatrice Danièle Thomson, également présente parmi les VIP qui s’étaient pressés dans le centre de congrès.
C’était juste avant l’arrivée sur scène d’Harlan Coben. L’écrivain, habitué de voir ses histoires portées à l’écran ( Ne le dis à personne, Une chance de trop, etc.), était justement là pour la présentation, en première mondiale, du pilote de Shelter – à découvrir en août sur Prime Video, adaptation de son roman À découvert,
Et il n’est pas non plus reparti les mains vides. Le souverain monégasque lui a remis un Diplôme d’honneur pour sa « contribution exceptionnelle à la littérature, aux arts et au divertissement dans le monde ». Une distinction inédite que l’auteur, a acceptée non sans livrer une anecdote tombée à pic.
- Il y a quarante ans, l’écrivain partageait les bancs du Amherst College, une prestigieuse université américaine, avec l’hôte de la soirée.
- Et avec une certaine familiarité.
- « J’étais en première année, j’avais peur et je ne connaissais personne.
- Un ami m’a présenté à »Alby », un senior qui était le gars le plus gentil.
C’était un type normal. Il portait toujours un survêtement vert, a même détaillé Harlan Coben. Quand je le croisais, je lui disais toujours »Salut Alby ». Un autre étudiant m’a demandé : »Comment tu l’as appelé ? Son nom, c’est pas Alby. C’est le Prince Albert II de Monaco ».
Quel âge a Justine Braisaz ?
Justine Braisaz-Bouchet | ||||||||||||||||||||
Justine Braisaz à Oberhof en 2018. | ||||||||||||||||||||
Contexte général | ||||||||||||||||||||
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Sport | Biathlon | |||||||||||||||||||
Période active | 2013- | |||||||||||||||||||
Biographie | ||||||||||||||||||||
Nom de naissance | Justine Braisaz | |||||||||||||||||||
Nom dans la langue maternelle | Justine Braisaz-Bouchet | |||||||||||||||||||
Nationalité sportive | Française | |||||||||||||||||||
Nationalité | France | |||||||||||||||||||
Naissance | 4 juillet 1996 (27 ans) | |||||||||||||||||||
Lieu de naissance | Albertville | |||||||||||||||||||
Taille | 1,68 m (5 ′ 6 ″ ) | |||||||||||||||||||
Poids de forme | 60 kg (132 lb ) | |||||||||||||||||||
Club | Douanes / Club des Sports Les Saisies | |||||||||||||||||||
Palmarès | ||||||||||||||||||||
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Justine Braisaz-Bouchet, (née Braisaz, 4 juillet 1996 à Albertville ), est une biathlète française, championne olympique de Mass-start aux Jeux de Pékin en 2022. Justine Braisaz-Bouchet est issue du club des sports des Saisies (station olympique de 1992).
- Elle est membre de l’équipe de France de biathlon et membre de l’Equipe de France Douane depuis 2015.
- Elle obtient sa première victoire en Coupe du monde le 17 décembre 2017 à l’arrivée de la mass start du Grand Bornand,
- Elle remporte la médaille de bronze en relais féminin avec Marie Dorin-Habert, Anaïs Chevalier et Anaïs Bescond lors des Jeux olympiques de PyeongChang,
Au cours d’une saison 2018-2019 où elle ne connaît pas la réussite, elle parvient le 12 mars à s’adjuger sa première médaille mondiale individuelle en prenant le bronze de l’individuel 15 kilomètres. Le 18 février 2022, elle remporte la dernière épreuve féminine des Jeux olympiques de Pékin, le départ groupé, grâce à une bonne vitesse à skis et surtout un tir rapide qui lui permettent, malgré quatre visites de l’anneau de pénalité, de finir détachée devant les Norvégiennes multi-médaillées Tiril Eckhoff et Marte Olsbu Røiseland,
Elle est la seconde Française à décrocher une médaille d’or dans une épreuve individuelle en biathlon, seize ans après Florence Baverel-Robert, titrée sur le sprint aux Jeux olympiques de Turin en 2006, Elle termine la Coupe du monde 2021-2022 sur une victoire qui lui permet de s’adjuger le petit globe de cristal de la mass start.
Elle ne participe pas à la saison 2022-2023, au cours de laquelle elle donne naissance à une petite fille.
Où vit Anaïs Chevalier ?
Championne et maman, Anaïs Chevalier-Bouchet est attachée au plateau du Vercors. Et elle a quelques bons conseils à donner à ceux qui veulent y séjourner.
Quand accouche Justine Braisaz-Bouchet ?
Biathlon – carnet rose. Justine Braisaz-Bouchet heureuse maman d’une petite Côme Après une fabuleuse saison, Quelques mois plus tard, ce vendredi, a annoncé la venue au monde de sa première fille, née le vendredi 3 février. Une petite fille appelée Côme, a révélé la jeune maman Savoyarde dans un post Instagram.
- « WelCôme 3.2.2023.
- To our pretty Litt’girl ».
- Va maintenant se consacrer à son premier enfant.
- Après avoir a mis entre parenthèses sa carrière de sportive de haut niveau le temps de sa maternité.
- « C’est quelque chose que l’on évoquait assez régulièrement avec mon mari, depuis quelques mois voire quelques années.
Et puis après la médaille des JO et le petit globe de la mass start en fin de saison, j’ai vraiment profité de cet hiver dernier. Et avant de repartir sur une nouvelle olympiade, autant sportivement que personnellement, il y avait cette volonté assez forte », confiait la championne olympique au mois de septembre dernier.
Où habite Martin Bouchet ?
Martin BOUCHET – Nantes, Pays de la Loire, France | Profil professionnel | LinkedIn.
Qui est le compagnon de Anaïs Chevalier ?
Vie personnelle – Elle est mariée depuis septembre 2017 à Martin Bouchet, entraîneur de biathlon, En mai 2019, elle annonce qu’elle et son mari attendent leur premier enfant, Elle met au monde une petite fille prénommée Emie, le 28 octobre 2019, Sa sœur Chloé est aussi une biathlète de haut niveau dans l’équipe de France,
Pourquoi Justine Braisaz n’est pas à la Coupe du Monde ?
Justine Braisaz-Bouchet, championne olympique et future maman Jeudi 19 janvier 2023 Justine Braisaz-Bouchet, soutenue par la Caisse d’Epargne Rhône Alpes, évoque cette saison 2022-2023 si singulière dans sa vie d’athlète et de femme. On se souvient de cette émotion, de cette formidable victoire de Justine Braisaz-Bouchet, dans la Mass-start des Jeux Olympiques d’hiver de Pékin en 2022.
Elle est ainsi rentrée dans l’Histoire du sport français au terme de cette grande course. Au printemps dernier, elle a décidé avec son mari de fonder une famille. Enceinte, elle a suivi la saison 2022-2023 comme observatrice tout en continuant à s’entraîner et ce jusqu’au terme ou presque de sa grossesse.
Cela faisait huit saisons que vous étiez sur le circuit avec beaucoup d’intensité, des déplacements, des compétitions, des entraînements. comment vivez-vous ces moments en dehors de ce rythme intense ? Au printemps dernier avec mon mari on a décidé de fonder une famille, j’ai fait un choix très personnel forcément mais également un choix professionnel qui consistait à faire une pause pour me relancer dans une olympiade avec en ligne de mire les Jeux Olympiques en Italie en 2026.
Après, en effet, huit saisons sur la Coupe du monde, j’avais besoin de faire un break. C’était un sentiment personnel assez fort et partagé par mon mari. Donc, j’ai plutôt bien vécu ce changement de rythme. Ce qui a en fait le plus changé pour moi ce sont les déplacements qui ont été moins nombreux. Mais en termes d’entraînement, pour prendre en compte ce projet de poursuivre ma carrière après mon accouchement, je me suis entraînée correctement avec bien sûr l’aval et le contrôle du personnel médical.
La grossesse se passait très bien et c’est allé très vite donc j’ai pu continuer à garder un bon rythme d’entraînement.
- Vous aviez donc l’entraînement mais sans la compétition
- Vous avez demandé des conseils à des championnes qui étaient passées par là ?
- Comment organisez-vous votre quotidien ?
- Vous allez vous entraîner jusqu’au terme ?
- Si l’on compare avec vos entraînements habituels, vous situeriez l’intensité de vos sorties à quel pourcentage ?
Exactement. J’ai continué pendant presque neuf mois, en revanche toute intensité était prohibée donc c’était assez basiqueIl n’y avait que le plaisir donc Et vous n’aviez plus la pression de la compétitionOn peut dire ça, complètement. Même si je prends aussi du plaisir à l’entraînement pour les compétitions et même en compétition car je fais ça depuis que je suis petite.Mais je me suis entraînée avec cette idée de poursuivre ensuite ma carrière et donc en me projetant sur les saisons à venir Disons que j’ai profité de ma grossesse mais en ayant toujours un œil sur ma carrière.Oui, j’ai échangé avec Marie Dorin-Habert.
On a dix ans d’écart, elle a eu une petite fille durant sa carrière. Je lui ai demandé un retour d’expérience ainsi qu’à Anaïs Chevalier Bouchet qui est une athlète toujours en activité et qui a eu une petite fille il y a trois ans. Ce sont des athlètes proches, qui font le même sport que moi C’était donc très intéressant d’avoir leur retour mais je me suis aussi fait confiance.
Car cette réflexion de construire à long terme je l’ai depuis un bon moment. J’étais claire avec ce que je voulais faire. Je suis beaucoup à la maison. Je vis en Tarentaise, proche de Peisey Nancroix et mes parents aux Saisies, donc j’alterne entre ces deux endroits qui sont deux très bon spots pour faire du ski de fond.
- Je m’entraîne une à deux fois par jour.
- Tant que ça va je continue.
- Simplement je m’adapte.
- Quand je suis dans une période où je me sens plus fatiguée, j’allège mais sinon je n’ai pas levé le pied.
- Je m’écoute.
- Je me connais bien.
- Tant que la tête suit et que le corps sous le contrôle médical aussi, il n’y a rien qui me limite.
Je me projette aussi sur les semaines qui arrivent et je me dis que de l’énergie il va m’en falloir pour m’occuper de ce petit bébé. Aussi l’idée est de ralentir progressivement jusqu’à la date de l’accouchement. Et puis je me laisse un mois ou deux pour me faire à cette nouvelle vieavant de me projeter à nouveau dans ma carrière.
Je dirais que je suis à plus de la moitié. J’essaye vraiment de conserver mes capacités physiques, physiologiques ou musculaires adaptées à la grossesse. Je dirais de 60 à 70 % en termes de nombre de sorties en revanche, en termes d’intensité, je les réalise de façon modérée à faible. Honnêtement, j’avoue que je me sens plutôt bien, je n’ai pas l’impression qu’il y a un énorme changement par rapport aux années précédentes.
Vous regardez les courses à la télévision ? Et quand vous voyez les autres biathlètes, est-ce que l’adrénaline de la compétition vous manque ? Je n’en manque pas une. Ça me passionne et ça me manque un peu. C’est marrant, parfois j’ai davantage envie en regardant une compétition à la télévision que certains jours de course où j’ai pu me retrouver avec un manque d’envie ou un stress si important que cela inhibait le plaisir et l’intensité de la compétition.
Mais aujourd’hui, oui j’ai envie d’y revenir. Je vais prendre le temps mais je vais revenir. Je vis bien ma grossesse mais je me dis aussi, cool, je vais y revenir. Comment avez-vous vécu la première étape de Coupe du monde de la saison ? C’était très excitant. J’avais envie d’avoir le niveau. Ensuite je me suis beaucoup nourrie de ce que je voyais.
C’était très différent de la manière dont je vivais les courses en compétition. Je me rends compte de chose de façon plus évidente que lorsque je suis en course. Par exemple, ce qui m’a frappé, c’est la simplicité du biathlon. Il y a de la technique, de la stratégie mais ce que cela dégage c’est une vraie forme de simplicité.
Je m’inspire aussi d’athlètes qui performent aujourd’hui comme les Norvégiens. Je regarde le biathlon dans son ensemble. Et cela me montre que pour construire une course performante il y a quelque chose d’évident quand on le regarde à la télé et c’est une sensation agréable. Vous continuez donc à vous entrainer devant votre télé en picorant des choses chez les autres qui vont vous permettre de progresser ?! Complètement.
C’est très complémentaire. C’est une autre approche que j’ai appréhendée cette année Vous êtes quel genre de téléspectatrice sur votre canapé ? Survoltée ou vous arrivez à prendre du recul ? Un peu des deux. C’est vraiment très amusant, c’est assez intense quand je regarde une compétition.
- J’arrive à presque ressentir les émotions des athlètes, voire les décisions qu’ils prennent.
- Pas pour tout le monde mais les athlètes qui me parlent.
- J’arrive presque à ressentir en direct leur course, leurs choix, la construction de leur course.
- Après je suis très frustrée de voir des tirs manqués.
- Donc je me rends compte de ce que les téléspectateurs peuvent vivre quand on est en compétition.
C’est un peu la situation où une voiture double un vélo et un vélo qui se fait doubler par une voiture, j’ai actuellement les deux points de vue. Car observateur et acteur sont deux positions en totale opposition et c’est très enrichissant de vivre les deux côtés.
Ça m’apportera à l’avenir. Vous confirmez que c’est tout de même plus simple d’être sur son canapé et de commenter. En fait, je me rends compte qu’en tant qu’athlète iI faut être capable de reproduire l’esprit du canapé c’est-à-dire être confiant, avoir de l’aplomb pour mettre en place des choses qu’on a travaillé, exprimer tout son potentiel.
Car quand on est athlète, parfois on s’enferme dans une bulle de l’enjeu, ce qui peut être contre performant. C’est bon d’avoir un peu de simplicité.
- Donc quand vous allez reprendre la compétition vous allez essayer de garder en vous l’esprit du canapé
- Vous avez changé d’alimentation ou gardé votre alimentation d’athlète ?
- La maternité a-t-elle changé la championne que vous êtes ? Votre rapport au sport, à la compétition
Oui j’essayerai d’utiliser mon expérience de téléspectatrice durant tout cet hiver. Pour moi je continue mon alimentation pour des raisons notamment de santé et je le gérerai aussi de la même façon après ma carrière. C’est juste une question de bon sens.
On verra quand je reviendrai mais je n’ai pas l’impression. Disons que durant ma carrière, il y a eu des moments où l’enjeu prenait le pas sur le reste. Là, cela sera peut-être différent. Mais j’avais déjà pris du recul depuis l’année dernière. Sur ma carrière, ma façon d’aborder le sport, sur celle que je voulais être.
Aussi parce que votre titre olympique vous a apaisée Peut-être, oui. Il m’a donné envie de poursuivre et de rêver des Jeux Olympiques de 2026. Maintenant cette projection, le puzzle s’est construit avant la grossesse C’est juste grandir et évoluer avec ou sans le sport mais à travers les personnes que je côtoie tous les jours.
C’est aussi un projet familial. Pensez-vous que votre parcours, votre décision de faire une pause pour mettre au monde un enfant dans votre carrière peut aider des jeunes femmes qui se posent ce genre de question dans leur vie professionnelle et qui subissent le poids ou la pression du plan de carrière, dans le monde de l’entreprise.
Elles peuvent se dire, une championne qui a une carrière déjà très courte le fait, alors pourquoi pas moi Je ne sais pas si on peut répondre par oui ou par non à cette question. Avant moi, plusieurs athlètes dans le sport et dans le biathlon ont fait ça.
- Quand j’ai pris cette décision tous mes sponsors, et notamment la Caisse d’Epargne Rhône Alpes, m’ont soutenue.
- J’ai été claire avec eux sur mon projet de saison blanche avec l’objectif d’un retour pour la prochaine olympiade.
- Ils ont décidé de me soutenir et c’est une aide énorme dans le projet.
- Même si ma décision était prise, et je l’aurais prise même si je n’avais pas été soutenue, cela aurait simplement été beaucoup plus difficile.
Pour les femmes qui se posent des questions, ça dépend du contexte. Moi, j’ai été très soutenue par mes partenaires et notamment par la Caisse d’Epagne Rhône Alpes et quand on est soutenu, on est serein. Et une mère sereine c’est une famille sereine, c’est un enfant serein.
- Et enfin, une mère de famille peut être plus efficace, plus professionnelle lorsqu’elle a fait ce choix.
- On parle de charge mentale mais avoir un enfant et mener une carrière de haut niveau demande une énergie folle, vous vous êtes préparée à ce défi En termes de logistique, ça s’anticipe et j’ai l’aide de ma famille qui me soutient dans ce projet et particulièrement de mon mari.
Sur la première année, on a tout organisé. Après je me donne le temps de me préparer, de faire les choses intelligemment, de m’adapter. Je suis prête ! Je sais qu’il y aura des moments émotionnellement durs, je l’imagine. Mais justement je vais prendre le temps notamment cette année qui va être une année charnière.
Et on verra avec tout le staff de l’Equipe de France afin que tout le monde s’épanouisse au mieux. Parmi les différents partenariats qu’elle a bâtis, la Caisse d’Epargne Rhône Alpes a constitué une « team » d’une dizaine de champions issus des Equipes de France de ski et de snowboard dont fait partie Justine.
Ils portent haut les couleurs du ski français et de leur région et représentent des espoirs de médailles sur les compétitions internationales. « La même flamme nous anime »
- Mécénat et Sponsoring
- Sport
- Caisse d’Epargne
: Justine Braisaz-Bouchet, championne olympique et future maman
Où est Justine RTL2 ?
L’animatrice présentera ainsi sa première émission en solo sur la station du groupe M6.2023 débute avec des nouveautés sur RTL2. Co-présentatrice chaque matin avec Grégory Ascher du « Double expresso RTL2 », co-diffusé en partie sur W9, Justine Salmon hérite, selon nos informations, d’une nouvelle émission mensuelle. Radio Jean-Philippe Baille (Franceinfo) demande des « moyens » pour contrer les « vérités. Radio Gérard Klein, héros de la célèbre série « L’Instit », rejoint Sud Radio dès le lundi. Radio « Vous êtes invité ce matin » : Laurent Jacobelli recadré sur Franceinfo alors qu’il. Radio Sophie Davant, William Leymergie, Céline Géraud. Découvrez la grille complète.
Quel est le lien de parenté entre Justine Braisaz Bouchet et Anaïs Chevalier Bouchet ?
Carrière – Après avoir effectué une carrière encourageante en jeune et en junior (vice-championne du monde jeune de sprint et de poursuite en 2011 puis vice-championne du monde junior de sprint en 2012), elle intègre l’équipe de France de biathlon. Elle participe d’abord au circuit de l’ IBU Cup, antichambre de la coupe du monde, disputant sa première course à Annecy en fin de saison 2010-2011.
- C’est en relais qu’elle obtient ses premiers podiums, troisième en 2011-2012 avec le relais féminin et troisième la saison suivante lors d’un relais mixte avec Jacquemine Baud, Baptiste Jouty et Antonin Guigonnat,
- Lors de cette saison, elle participe aux championnats d’Europe 2013 à Bansko où elle remporte deux titres chez les juniors, sur l’individuel et le relais mixte, où elle est associée à Floriane Parisse, Mathieu Legrand et Quentin Fillon Maillet, et une médaille de bronze lors de la poursuite après une neuvième place du sprint.
Elle fait ses débuts en Coupe du monde lors de la saison 2013-2014,27 e de sa première course, un sprint à Hochfilzen, elle obtient un podium dès sa course suivante avec une troisième place avec le relais féminin composé de Marie-Laure Brunet, Sophie Boilley et Anaïs Bescond,
Elle est de nouveau sélectionnée pour des relais lors des étapes suivantes, les Françaises se classant cinquième à Annecy et Ruhpolding. Sur le plan individuel, elle obtient une 14 e place lors du sprint d’ Oberhof, Elle est sélectionnée pour les Jeux olympiques 2014 à Sotchi, Elle y termine 47 e puis 44 e du sprint et de la poursuite.
Choisie pour participer au relais, elle voit sa coéquipière Marie-Laure Brunet, première relayeuse française, abandonner en raison d’un malaise après le premier tir, Après les Jeux, elle obtient son premier top 10 en individuel en terminant huitième de la poursuite de Kontiolahti,
- Au début de la saison 2014-2015, elle fait partie du relais mixte victorieux à Östersund, composé d’Anaïs Bescond et des frères Simon et Martin Fourcade,
- En janvier 2015, elle participe aux Championnats d’Europe à Otepää, où elle obtient la médaille de bronze avec sa sœur Chloé Chevalier, Julia Simon et Coline Varcin lors du relais,
Blessée au dos, elle doit mettre un terme à sa saison, Elle doit repasser par l’IBU Cup lors de la saison 2015-2016 où elle s’impose avec Aristide Bègue sur un relais mixte simple à Ridanna, prenant sur cette étape une deuxième place lors du sprint,
Elle s’impose lors d’un sprint à Nove Mesto, Elle retrouve la coupe du monde, disputant les étapes de Ruhpolding, Antholz, où elle participe à la victoire du relais féminin avec Justine Braisaz, Anaïs Bescond et Marie Dorin-Habert, première victoire d’un relais féminin depuis janvier 2012, Elle dispute également les courses sur les étapes nord-américaines de Canmore et Presque Isle.
Elle est alors sélectionnée pour les mondiaux d’Oslo.26 e du sprint, elle termine ensuite 15 e de la poursuite et 28 e de l’Individuel. Avec le relais féminin, elle remporte la médaille d’argent, avec Justine Braisaz, Anaïs Bescond et Marie Dorin-Habert, les Françaises étant battues par les Norvégiennes,
Dès le début de la saison 2016-2017, elle participe au circuit de la coupe du monde, À Pokljuka, le 11 décembre lors de la deuxième étape, elle prend la deuxième place du relais féminin avec l’équipe de France également composée de Justine Braisaz, Célia Aymonier et Marie Dorin-Habert, Puis, le 16 décembre lors de l’étape suivante, à Nove Mesto, elle profite des nombreuses erreurs des principales favorites pour se classer deuxième du sprint avec un 10/10 au tir, son premier podium en coupe du monde,
Lors de la poursuite le lendemain, elle s’impose pour la première fois de sa carrière en coupe du monde, grâce à un 19/20 au tir, devançant d’une dizaine de secondes Dorothea Wierer, Elle continue d’enchainer les bons résultats terminant respectivement quatrième puis neuvième du sprint et de la poursuite d’Oberhof, puis huitième d’une poursuite à Ruhpolding où elle obtient un deuxième place avec Justine Braisaz, Anaïs Bescond et Célia Aymonier,
- Lors de l’étape suivante à Antholz, elle termine deuxième de l’Individuel derrière Laura Dahlmeier,
- Lors du relais disputé sur ce site, l’Allemagne devance la France où Anaïs Chevalier est associée à Braisaz, Bescond et Dorin-Habert,
- Pour sa première course des championnats du monde à Hochfilzen, Anaïs Chevalier est sélectionnée pour le relais mixte avec Martin Fourcade, Quentin Fillon Maillet et Marie Dorin-Habert.
L’équipe française prend la deuxième place derrière l’Allemagne et devant la Russie, Le 10 février 2017, elle se place troisième du sprint féminin, devancée par Laura Dahlmeier et Gabriela Koukalová, remportant sa première médaille individuelle en championnat du monde,
- Elle termine ensuite onzième de la poursuite puis obtient un résultat médiocre, 38 e, sur l’Individuel.
- Lors du relais, elle s’empare avec Célia Aymonier, Justine Braisaz et Marie Dorin-Habert de la médaille de bronze,
- Première relayeuse, elle occupe la première place à l’issue du premier relais où elle ne concède qu’une seule pioche au tir.
En s’imposant face à Gabriela Koukalova, Marie Dorin-Habert prend la troisième place, En mai 2017, elle est victime d’un accident, renversée par une voiture alors qu’elle s’entrainait en vélo. Cet accident lui occasionne une fracture de la clavicule, Anaïs Chevalier lors du sprint de la coupe du monde 2018 à Oberhof. Après des débuts en coupe du monde 2017-2018 lors d’un relais mixte terminé à la septième place à Östersund, elle doit attendre l’étape du Grand-Bornand pour terminer de nouveau parmi le top 10, lors de la mass start remportée par Justine Braisaz,
Lors de l’étape suivante à Oberhof, elle participe avec Anaïs Bescond, Célia Aymonier et Justine Braisaz à la victoire de l’équipe de France lors du relais, Lors de l’étape suivante, à Ruhpolding, les deux sœurs Chevalier sont associées pour la première fois au sein d’un relais de coupe du monde, le premier pour Chloé.
[Toujours La Flamme] ITW Julia Simon et Justine Braisaz-Bouchet | 30 ans des Jeux d’Albertville 1992
Avec également Marie Dorin-Habert et Célia Aymonier, les Françaises terminent à la neuvième place, Lors des épreuves des Jeux olympiques de Pyeongchang, elle termine 16 e du sprint, 24 e de la poursuite, 28 e de l’Individuel et 29 e de la mass start.
Lors du relais, l’équipe de France, composée d’Anaïs Chevalier en première position, Marie Dorin-Habert, Justine Braisaz et Anaïs Bescond, prend la troisième place de l’épreuve remportée par la Biélorussie devant la Suède, À Kontiolahti, elle remporte le relais mixte simple avec Antonin Guigonnat,
Initialement première remplaçante, elle profite du forfait de Justine Braisaz pour prendre le départ à la mass start du lendemain où elle prend la troisième place devancée par Vanessa Hinz et Lisa Vittozzi, Lors de l’étape d’Oslo, où Marie Dorin-Habert fait ses adieux à la compétition, elle participe à la victoire de l’équipe de France avec Célia Aymonier, Anaïs Bescond et Marie Dorin-Habert qui remporte donc sa dernière victoire,
Pour la dernière course de la saison de coupe du monde à Tioumen, elle obtient la troisième place de mass start, Elle est la meilleure française du début de la saison 2018-2019, avec notamment trois podiums consécutifs à Nové Město na Moravě (troisième de la mass start ), puis à Oberhof (deuxième du sprint et troisième de la poursuite ) et plusieurs arrivées dans le Top 10, ce qui lui vaut en janvier de figurer à la quatrième place du classement général de la coupe du monde,
Lors de l’étape suivante à Ruhpolding, elle obtient un nouveau podium en emportant le relais féminin, l’équipe française étant également composée de Julia Simon, Anaïs Bescond, Justine Braisaz, Elle obtient ensuite deux nouveaux podiums dans des épreuves de relais, une troisième place lors du relais féminin de Canmore et la victoire lors du relais mixte de Soldier Hollow, la France composée de Quentin Fillon Maillet, Simon Desthieux, Célia Aymonier et Anaïs Chevalier,
Elle est alignée en première position lors du relais mixte, première épreuve des mondiaux d’Östersund, devant Julia Simon, Quentin Fillon Maillet et Martin Fourcade, la France avec un total de quinze fautes au tir terminant huitième,32 e du sprint, elle ne s’aligne pas sur la poursuite puis termine 49 e de l’individuel.
Bien qu’elle soit « hors de forme », elle est alignée lors du relais féminin, Anaïs Bescond étant malade, La France termine huitième. Anaïs Chevalier renonce à disputer la dernière course des mondiaux, la mass start, et décide de mettre un terme à sa saison,
- Anaïs Chevalier est absente de la saison de coupe du monde 2019-2020 en raison de la naissance de son premier enfant,
- À son retour, elle remporte deux titres de championne de France de biathlon d’été, le sprint puis la poursuite, en octobre 2020,
- Neuvième puis douzième des deux premières courses de la saison de coupe du monde 2020-2021, à Kontiolahti, elle termine, la semaine suivante, deuxième sur ce même site d’un sprint derrière la Suédoise Hanna Oeberg,
En janvier 2021, elle monte sur le podium de l’épreuve de relais mixte d’Oberhof avec Justine Braisaz-Bouchet, Fabien Claude et Quentin Fillon Maillet, À Antholz-Anterselva, dernière étape avant les championnats du monde, elle prend la troisième place de l’individuel derrière l’Autrichienne Lisa Theresa Hauser et l’Ukrainienne Yuliia Dzhima,
Elle figure également, en compagnie de Anaïs Bescond, Justine Braisaz-Bouchet et Julia Simon, dans le relais de l’équipe France qui prend la troisième place derrière les Russes et les Allemandes, Alignée avec Émilien Jacquelin, Quentin Fillon-Maillet et Julia Simon au sein du relais mixte d’ouverture des Championnats du monde 2021 de Pokljuka, elle commet quatre fautes consécutives à la fin de son passage au tir debout et doit effectuer un tour sur l’anneau de pénalité, ce qui compromet les chances de médaille pour les Français qui termineront finalement à la cinquième place,
Sur le sprint, elle signe le meilleur temps de ski, ce qui lui permet de compenser son unique faute au tir et de remporter la médaille d’argent derrière la Norvégienne Tiril Eckhoff et devant la Biélorusse Hanna Sola, toutes deux à 10/10 au tir, Elle confirme sur la poursuite en remportant le bronze, derrière Eckhoff et Lisa Theresa Hauser,
- La fin des mondiaux est plus difficile : 27 e de l’individuel, elle termine huitième avec le relais où elle est alignée avec Anaïs Bescond, sa sœur Chloé et Julia Simon, puis à nouveau 27 e sur la mass-start qui clôture l’événement.
- Elle finit la saison 2020-2021 à la neuvième place du classement général de la Coupe du monde.
La saison 2021-2022, marquée par les Jeux olympiques, est la meilleure de sa carrière. Elle fait preuve de régularité tout au long de l’hiver et finit à la cinquième place de la Coupe du monde, après avoir obtenu quelques podiums et de nombreux top 10, sans connaître la victoire individuelle cependant (elle gagne deux fois en relais avec ses coéquipières de l’équipe de France).
Aux Jeux olympiques de Pékin en février 2022, elle obtient d’entrée deux médailles d’argent, l’une en relais mixte en compagnie de Julia Simon, Émilien Jacquelin et Quentin Fillon Maillet, et l’autre sur l’individuel, en se classant malgré une minute de pénalité au tir à moins de dix secondes de la nouvelle championne olympique de la discipline, Denise Herrmann,
En février 2023, elle fait partie du relais mixte qui obtient la médaille de bronze aux Championnats du monde 2023 d’Oberhof, Elle arrête sa carrière à l’issue de la saison 2022-2023 et s’en va sur un vingt-troisième et dernier podium de Coupe du monde en terminant 3 e de la mass-start finale à Oslo-Holmenkollen le 19 mars 2023,
Où vit Anaïs Chevalier ?
Championne et maman, Anaïs Chevalier-Bouchet est attachée au plateau du Vercors. Et elle a quelques bons conseils à donner à ceux qui veulent y séjourner.