Est-ce que lémission Y a que la vérité qui compte existe toujours ?
À l’occasion du retour en inédit de Y’a que la vérité qui compte en inédit sur C8 à la rentrée, Pascal Bataille, Laurent Fontaine et Rebecca Hampton ont accepté de reprendre leurs rôles respectifs dans l’émission. Mais quid de Sam Richez, le brun ténébreux qui accompagnait les invités en plateau sans dire un mot ? Va-t-il revenir ? On a la réponse.
- La suite sous cette publicité C’est désormais officiel : l’émission culte de TF1 Y’a que la vérité qui compte fera son grand retour à la rentrée, cette fois sur C8,
- Les tournages des émissions inédites se déroulent toute cette semaine.
- Aux commandes, les téléspectateurs retrouveront le duo d’animateurs et producteurs formé par Pascal Bataille et Laurent Fontaine.
Mais aussi Rebecca Hampton, qui a accepté de rempiler pour se rendre comme à l’époque sur le terrain pour donner les invitations aux personnes concernées par de potentielles retrouvailles en plateau.
Quelle émission faisait Bataille et Fontaine ?
« Cyril Hanouna est le meilleur animateur de télévision » – Voilà donc quelques mois qu’en plus des rediffusions sur C8, les deux animateurs multiplient les apparitions sur le petit écran français. Et comme pour Yahoo, ils n’hésitent jamais à livrer le fond de leur pensée sur le paysage audiovisuel tricolore, eux qui connaissent bien les rouages des émissions.
Si Pascal Bataille apprécie l’émission de Faustine Bollaert sur France 2,, il est beaucoup moins tendre à l’égard de la chaîne. « C’est tout ce qui est le plus dramatique en télévision, tout ce qui peut se faire de moins créatif, de moins innovant. Je trouve ça dramatique. Une chaine de service public qui tient tout entière sur Laurent Ruquier, Stéphane Bern et Nagui, et pour qui le comble de la nouveauté c’est de faire ‘Les enfants de la télé’, ou Léa Salamé le samedi soir » estime-t-il.
« Le pire de la télé aujourd’hui ? France 2 » Pour Laurent Fontaine, la meilleure émission de télé de ces dix dernières années est « Touche Pas à Mon Poste », menée par Cyril Hanouna, « certainement le meilleur animateur de télévision au sens pur du terme. » Et s’ils sont plus que jamais dans l’air du temps, Bataille et Fontaine sont avant tout des téléspectateurs passionnés et nostalgiques eux aussi de programmes qui n’existent plus, notamment l’émission phare de France 3, « C’est pas sorcier », ou celles qui ont fait la renommée de Canal+ fut un temps, comme « Les Nuls ».
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Où habite Pascal Bataille ?
Pascal Bataille et Laurent Fontaine ont présenté de 2002 à 2006 ‘Y’a que la vérité qui compte’. Pascal Bataille est l’heureux propriétaire de deux hôtels. L’un en Gironde et l’autre en Basse-Normandie.
Pourquoi il faut cacher la vérité ?
1 La peur – Il semblerait que mentir est tout simplement une manière de cacher notre peur. En effet, dire la vérité nous exposerait à la de l’autre. Alors on a tendance à préférer cacher la vérité pour s’éviter tout risque de conflit. Il peut aussi il y avoir la peur de souffrir ou de faire souffrir l’autre en disant la vérité.
Pourquoi il faut dire la vérité ?
6. Dire la vérité nous permet d’apprendre les leçons de la vie. – Lorsque vous employez votre énergie à couvrir vos erreurs, vous ne prenez pas vos responsabilités, ce qui ne vous permet pas d’apprendre les leçons importantes de la vie. Dire la vérité et être propriétaire de vos erreurs est le chemin le plus rapide vers l’auto-évolution et la maturité.
Comment expliquer la vérité ?
Publié le mercredi 25 mars 2020 à 18h12 Vivons-nous dans l’illusion ? Est-il possible d’atteindre la vérité grâce à la méthode cartésienne ? Peut-on vivre une vie de mensonges ? Grâce à huit émissions de France Culture, révisez vos connaissances philosophiques sur la notion de vérité, jusque dans ses acceptions très contemporaines.
- La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s’oppose donc à la fausseté – au sens d’erreur, mais aussi de mensonge.
- Détenir la vérité, c’est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.
- Ainsi, pour trouver la vérité, nous sommes confrontés au défi de dépasser notre subjectivité – c’est-à-dire non seulement les croyances, les préjugés, les opinions qui constituent notre personnalité, mais aussi le sensible tel qu’il nous apparaît, car il peut être source d’illusions.
En effet, rien ne nous autorise à considérer que la réalité se limite à ce que nos sens nous en disent ! Alors, comment être sûr qu’il y a autre chose que des opinions subjectives sur le monde ? Comment être certain que ce que l’on croit vrai n’est pas qu’une opinion masquée ? Est-il possible de parvenir à un savoir objectif et universel ? Ou bien un jugement est-il toujours l’expression d’une croyance subjective et relative ? Pour enrichir vos connaissances en philosophie, ou les réviser, nous vous proposons de réécouter une sélection d’émissions des « Chemins de la philosophie » consacrées à la notion de vérité.
- Dans le cadre de l’opération Nation Apprenante, en partenariat avec le Ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, cette présentation d’émissions sera suivie d’une précision sur le niveau scolaire auquel elle peut faire écho.
- Que cela n’empêche pas les plus curieux d’y jeter une oreille.1.
Platon. Vivons-nous dans l’illusion ? (58 min) L’allégorie de la caverne est sans doute le plus connu de tous les textes de la philosophie occidentale. Livre quasi autonome à l’intérieur de La République de Platon, cette parabole, qui fait des hommes ignorants les prisonniers d’une grotte, pose de nombreuses questions toujours ouvertes.
Cette émission fait le point sur un texte fondateur que l’on ne cesse de redécouvrir. Les Chemins de la philosophie 2. Descartes. Comment atteindre la vérité ? ( 4 x 58 min) René Descartes, l’un des pères de la philosophie moderne, publie en 1637 le Discours de la méthode qui présente avec clarté quatre règles permettant de parvenir à la vérité.
Comment cet ouvrage nous éclaire-t-il sur cette fameuse méthode cartésienne ? Quatre émissions consacrées à cet ouvrage fondateur de l’histoire de la philosophie, et aux malentendus auxquels il a aussi donné lieu. Les Chemins de la philosophie 3. Hume.
Le savoir, une croyance devenue habituelle ? (58 min) Frappez une boule de billard : que se va-t-il se passer ? Va-t-elle heurter les autres ? En êtes-vous sûr ? De l’habitude découle la croyance Le philosophe écossais David Hume (1711-1776) remet tout en question systématiquement, et fait de cette expérience le socle de sa pensée « sceptique ».
Les Chemins de la philosophie 4. Husserl. Vérité des sciences, vérité de l’expérience vécue (58 min) La postérité d’Edmund Husserl (1859-1938) est immense. Le philosophe autrichien est le fondateur d’une méthode philosophique sans précédent : la phénoménologie.
Son but ? Retourner aux choses elles-mêmes Mais s’il faut revenir au monde, cela signifie-t-il que nous en sommes « partis » ? Les Chemins de la philosophie 5. Devient-on quelqu’un d’autre quand on ment ? (58 min) Le mensonge n’est pas seulement une parole professée, c’est aussi une série de gestes, d’attitudes, de comportements.
Et si, en fonction de notre capacité à maîtriser le langage, le mensonge peut demeurer imperceptible, le corps lui, souvent ne ment pas. Mais au fait, mentir est-il forcément une mauvaise chose ? Les Chemins de la philosophie 6. Sartre. Sommes-nous tous de mauvaise foi ? (58 min) Sommes-nous tous de mauvaise foi ? A cette question, le philosophe Jean-Paul Sartre (1905-1980), répondait par l’affirmative, car pour lui, nous sommes précisément cet être qui n’est pas ce qu’il est, qui ne coïncide pas avec lui-même.
Aristote et Platon. Faut-il préférer l’amitié à la vérité ? (58 min)
Aristote et Platon n’étaient pas à proprement « amis » mais ils se sont côtoyés au IVe siècle avant J.-C. et ont fait de l’amitié, ou de la philia, une notion centrale de leur réflexion. Cette émission propose de faire le point sur ce que l’on entend par le mot ami dans l’Antiquité grecque. Les Chemins de la philosophie
Peut-on renoncer à l’exigence de vérité ? (58 min)
La notion de post-vérité accompagne aujourd’hui tous les discours et alimentent les débats. Serait-elle le signe d’une agonie de la notion de vérité ou le symptôme de sa perte ? Les Chemins de la philosophie Vous trouvez cet article intéressant ? Faites-le savoir et partagez-le.
Qui est la nymphe Daphné ?
Daphné (nymphe) Il ne sera plus possible à certains moments de modifier Vikidia du mercredi 4 octobre 2023 au dimanche 8 octobre 2023 suite à une mise à jour de MediaWiki ! La consultation des articles sera toujours possible. Pensez à enregistrer vos modifications ou à les sauvegarder sur votre disque dur.
Une page de Vikidia, l’encyclopédie junior Daphné est une de la, d’une grande beauté. Selon les sources antiques, elle est soit la fille du dieu fleuve de Thessalie Pénée et de la naïade Créuse, de Ladon, ou de Pénée et de, Apollon amoureux (présence de Cupidon) poursuivant Daphné qui se métamorphose en arbre.
Sculpture sur bois, début du XVIIIe siècle
Comment s’appelle le fils de Daphné et Simon série ?
Quel est le prénom du bébé de Daphné et Simon ? – A la fin de la première saison des Chroniques de Bridgerton, Simon accepte enfin d’avoir un enfant avec Daphné. Le duc de Hastings s’était pourtant promis de ne jamais en avoir, pour ne pas perpétuer la lignée de son père.
Son épouse et Lady Danbury lui font finalement comprendre qu’il gâche sa propre vie à se refuser le bonheur d’être père, juste pour se venger d’un homme décédé. Après moultes discussions (et disputes), le couple décide de devenir parent, pour le plus grand bonheur de Daphné. La duchesse a toujours rêvé d’être mère.
La série se termine d’ailleurs sur une scène où on la voit donner la vie à son premier enfant : un petit garçon. Daphné et Simon se demandent alors comment ils vont appeler leur fils. Ce mystère est finalement résolu lors du troisième épisode de la saison 2 de Bridgerton,
Pourquoi Cupidon se venge d’Apollon ?
Gian Lorenzo Bernini dit Le Bernin « Apollon et Daphné » – Marbre de Carrare (243 x 115 cm) 1625 Bernin Apollon et Daphné Cette sculpture de Gian Lorenzo Bernini dit le Bernin, représente Apollon poursuivant Daphné d’après les Métamorphoses d’Ovide (I, 452). Apollon s’était moqué de Cupidon en lui disant que son arc était celui d’un gamin tandis que le sien était celui d’un homme.
Bernin Apollon et Daphné D’où le drame passionnel d’un Apollon éperdu d’amour face à la belle Daphné qui le fuit, Il l’appelle, la supplie, lui dit qui il est, lui déclare ses bonnes intentions mais rien n’y fait, elle continue de fuir : « Les vents dévoilaient sa nudité, leur souffle, venant sur elle en sens contraire, agitait ses vêtements et la brise légère rejetait en arrière ses cheveux soulevés ; sa fuite rehausse encore sa beauté,
Bernin Apollon et Daphné « Viens, mon père, dit-elle, viens à mon secours, si les fleuves comme toi ont un pouvoir divin, délivre-moi par une métamorphose de cette beauté trop séduisante, » À peine a-t-elle achevé sa prière qu’une lourde torpeur s’empare de ses membres ; une mince écorce entoure son sein délicat ; ses cheveux qui s’allongent se changent en feuillage ; ses bras, en rameaux, ses pieds, tout à l’heure si agiles, adhèrent au sol par des racines incapables de se mouvoir ; la cime d’un arbre couronne sa tête ; de ses charmes il ne reste plus que l’éclat,
- Apollon cependant l’aime toujours ; sa main posée sur le tronc, il sent encore le cœur palpiter sous l’écorce nouvelle ; entourant de ses bras les rameaux qui remplacent les membres de la nymphe, il couvre le bois de ses baisers ; mais le bois repousse ses baisers,
- Alors le dieu : « Eh bien, dit-il, puisque tu ne peux être mon épouse, du moins tu seras mon arbre ; à tout jamais tu orneras, ô laurier, ma chevelure, mes cithares, mes carquois.
» Métamorphoses d’Ovide, Livre I, 540, traduction de Georges Lafaye. Folio Classique. Bernin Apollon et Daphné Le Bernin a saisi cet instant précis où Daphné commence à se métamorphoser en laurier, où l’écorce commence à la couvrir, où ses pieds commencent à prendre racine et que des rameaux jaillissent de ses doigts tandis qu’ Apollon pose une main sur elle, et sent encore battre le cœur de la jeune nymphe au visage effaré.
- Cette superbe sculpture est parfaite d’équilibre, légère et pleine de mouvement, pleine de vie, le marbre vibre, on voit et on sent le vent, on assiste à la transformation sous les yeux incrédules d’Apollon.
- Bernin montre ici tout son talent, et pourtant c’est une œuvre de jeunesse.
- Les plis de la tunique d’Apollon ou de la robe de Daphné sont impressionnants de vérité.
La douceur des chairs qui palpitent presque devant nous tout comme la transparence des feuilles, l’envol des cheveux, sont autant d’éléments qui montrent la totale maîtrise du marbre de Gian Lorenzo Bernini, Retour en haut de la page Le Bernin Apollon Daphné | Proserpine Sculptures Le Bernin | Canova | Sculptures Antiques Œuvres Peintures | Sculptures Borghèse Œuvres | Situation | Horaires Billets | Autorisations Musées Forum | Capitole | Colonna | Borghèse | Saint-Ange | Dioclétien | Ara Pacis | Montemartini | Balbi | Visiter Billets Guides | Vatican | St Pierre | Colisée | Musées | Églises | Fontaines Places Rome Visiter | Musique | Utile | Météo Italie Venise Florence Rome Milan
Qui est la femme d’Ovide ?
LES MÉTAMORPHOSES – Déterminé à écrire un chef-d’œuvre du gabarit de L’Énéide, Ovide se lança dans les Métamorphoses, « Inspiré par mon génie, je vais chanter les êtres et les corps qui ont été revêtus de formes nouvelles, et qui ont subi des changements divers, » écrivait-il en ouverture de l’ouvrage ( Les Métamorphoses, Invocation, I, 1-4).
- Il informait ses lecteurs que le thème de la transformation allait influencer jusqu’à la forme même de son long poème pour retracer « sans interruption la suite de tant de merveilles depuis les premiers âges du monde jusqu’à nos jours.
- » Sol en mosaïque du 4 e siècle à Constanta (ancienne Tomis), à l’origine dans un entrepôt de pêche.
PHOTOGRAPHIE DE Joaquín Bérchez L’œuvre fut couronnée de succès à l’époque et devint l’un des ouvrages les plus influents de la littérature occidentale, à l’origine de nombreux travaux en art, en musique et au théâtre. Amour, luxure, terreur et châtiments divins déclenchent une série de transformations déconcertantes dans la réécriture que fit Ovide des histoires de 250 dieux et mortels.
Les marins sont transformés en dauphins. Le baiser du sculpteur Pygmalion transforme une statue en jeune femme. Pour avoir épié la déesse Diane dans son bain, le chasseur Actéon est transformé en cerf pour être dévoré par ses chiens. Dans l’un des plus célèbres passages des Métamorphoses, la nymphe Daphné refuse les avances d’Apollon et se voit transformée en laurier : « Ses cheveux verdissent en feuillages; ses bras s’étendent en rameaux; ses pieds, naguère si rapides, se changent en racines, et s’attachent à la terre : enfin la cime d’un arbre couronne sa tête et en conserve tout l’éclat.
» ( Les Métamorphoses, Daphné, I, 452-567). À cinquante ans, Ovide avait atteint le summum de sa popularité. Son style sans pareil l’avait propulsé aux cimes de la poésie romaine et c’est à cet instant précis, pendant qu’il était au plus haut, que le destin frappa.
En l’an 8, alors que le poète récoltait les honneurs pour ses Métamorphoses, l’empereur Auguste décida de l’envoyer en exil. Ovide vécut le restant de ses jours à Tomis. Ses requêtes auprès de l’empereur ne furent jamais entendues. À la mort d’Auguste en 14 de notre ère, Ovide tenta d’obtenir sa réhabilitation auprès de son successeur Tibère, mais le nouvel empereur était insensible aux éternelles supplications du poète et de sa femme Fabia.
Le maître de la poésie amoureuse romaine trouva la mort en l’an 17, bien loin de la cité où il s’était fait un nom et qu’il avait tant aimée. Cette peinture à l’huile de 1859 par Eugène Delacroix représente la désolation du poète, banni de Rome. PHOTOGRAPHIE DE National Gallery, Londres/Scala, Florence Les spécialistes de la période n’ont toujours pas cerné l’ensemble des raisons pour lesquelles Auguste prononça l’exil du poète.
- Ovide attribua ce châtiment à « carmen et error », « un poème et une erreur ».
- La plupart des historiens s’accordent à dire que le « poème » en question était Ars amatoria, dont l’insouciante indifférence à l’égard des normes sociales allait à l’encontre de la nouvelle moralité impériale dont Auguste se faisait le défenseur.
En tant que prêtre suprême, l’empereur était le gardien des lois et coutumes (curator legum et morum) et soucieux de restaurer les normes sociales traditionnelles. En l’an 8, année de la relégation d’Ovide, L’Art d’aimer avait plus de cinq ans. Selon le consensus admis par les historiens, le poème n’aurait été qu’une preuve supplémentaire du caractère indésirable d’Ovide aux yeux de l’empereur, la cause secondaire de son exil.
- La véritable raison à l’origine de cette décision était l’erreur évoquée par le poète à plusieurs reprises dans ses ultimes écrits.
- En parcourant ses textes à la recherche d’indices, les universitaires ont pu dégager plusieurs pistes quant à la nature de cette « error ».
- Le poète n’évoque jamais la cause de son exil en des termes précis, si ce n’est le fait qu’elle était le fruit inattendu d’une erreur idiote.
Au fil du temps, de nombreuses hypothèses ont vu le jour. Dans son livre The Mystery of Ovid’s Exile paru en 1964, l’historien américain John C. Thibault analyse les textes du Moyen Âge qui spéculent sur l’erreur d’Ovide. D’après certaines théories parmi les plus dramatiques, Ovide aurait eu connaissance d’une liaison incestueuse entre Auguste et sa fille Julia, ou alors c’est Ovide lui-même qui aurait eu une aventure avec Livia, la femme de l’empereur.
- Quant à Peter Green, Britannique du 20 e siècle spécialiste de l’œuvre ovidienne, il suggère que l’erreur était non pas morale, mais bien politique.
- À l’époque, la question de la succession d’Auguste était un sujet délicat.
- Si Ovide s’était montré indiscret à propos de certaines factions politiques, ses bavardages associés à l’érotisme de sa poésie auraient pu suffire à sceller son destin.
Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com en langue anglaise. : Les poèmes érotiques d’Ovide lui ont-ils fermé les portes de Rome ?