Mode d’emploi et posologie du médicament LYSANXIA – Ce médicament peut être pris pendant ou entre les repas.
Quand prendre lysanxia le soir ?
Lysanxia avis positif Certains disent en prendre le soir au moment du coucher et témoignent de ses effets sur l’endormissement.
Quel est le meilleur moment pour prendre un anxiolytique ?
Le mode d’administration et la posologie du médicament – Vous pouvez prendre le Seresta pendant ou entre les repas avec un verre d’eau. L’adulte doit prendre 20 à 60 mg par jour et les doses peuvent être réparties au cours de la journée. La dose maximale recommandée pour les cas graves est de 150 mg et la dose la plus forte doit être prise le soir.
Est-ce que le lysanxia aide à dormir ?
Lysanxia ou Lexomil pour dormir ? – Le Lysanxia et le Lexomil sont souvent prescrits dans le cadre de troubles du sommeil liés à l’anxiété. Leurs effets hypnotiques facilitent l’endormissement et réduisent les réveils nocturnes des personnes souffrant d’insomnie. Cependant, les médicaments pour dormir ne sont pas recommandés sur le long terme, car ils présentent de nombreux effets indésirables. }
Quand prendre prazépam le soir ?
Mises en garde et précautions d’emploi – PRAZEPAM EG n’est pas recommandé dans le traitement des troubles psychiatriques et des états psychotiques dans lesquels l’anxiété n’est pas l’un des éléments majeurs. Par conséquent, le prazépam ne peut être utilisé qu’en traitement adjuvant dans les psychoses. Patients âgés Une légère somnolence et/ou une diminution de la capacité de concentration, ainsi qu’une diminution du tonus musculaire peuvent survenir chez les patients âgés ou chez les sujets présentant une faiblesse musculaire. Chez les patients âgés ou très faibles, il est recommandé d’instaurer le traitement à une dose plus faible, par exemple 10 ou 15 mg de prazépam, fractionnée en plusieurs prises par jour, et d’augmenter ensuite cette dose si nécessaire. Adolescents (de 12 à 17 ans) Chez l’adolescent, il est recommandé de diminuer la posologie en fonction de l’âge et du poids du patient. Enfants Il n’existe pas de données cliniques sur l’utilisation du prazépam chez l’enfant de moins de 6 ans. Insuffisance rénale Une diminution de la dose doit être envisagée chez les patients atteints d’insuffisance rénale. Insuffisance hépatique Une diminution de la dose doit être envisagée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. Tolérance Les benzodiazépines peuvent induire des symptômes de tolérance. Dépendance L’administration de benzodiazépines peut entraîner le développement d’une dépendance physique et psychique. Le risque de dépendance augmente avec la dose et la durée de traitement. De plus, le risque est majoré chez les patients ayant des antécédents d’alcoolo-dépendance ou de pharmacodépendance. En cas de dépendance physique, l’arrêt brutal du traitement est accompagné de symptômes de sevrage (pour la liste de ces symptômes, voir rubrique Effets indésirables ). Phénomène de rebond: ce syndrome transitoire peut survenir à l’arrêt du traitement, se manifestant par la réapparition sous une forme exacerbée des symptômes anxieux qui avaient motivé la prescription de benzodiazépines. Le risque de symptômes de sevrage ou de rebond étant majoré en cas d’arrêt brutal du traitement, il est recommandé de diminuer progressivement la posologie. Pour la liste des symptômes de sevrage, voir rubrique Effets indésirables, Arrêt progressif du traitement Ses modalités doivent être expliquées clairement au patient. Outre la nécessité d’une phase de réduction progressive des doses, les patients doivent être informés du risque de phénomène de rebond, afin de minimiser l’anxiété qui pourrait accompagner les symptômes liés à l’arrêt du traitement, même s’il est progressif. Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase. Durée du traitement La durée du traitement doit être aussi courte que possible (voir rubrique Posologie et mode d’administration ) et ne devrait pas excéder 8 à 12 semaines, y compris la phase de réduction de posologie. En cas de nécessité de prolonger le traitement au-delà de cette durée, l’état du patient devra être réévalué. Chez les patients ayant des antécédents de dépendance, voir rubrique Effets indésirables, Amnésie Les benzodiazépines peuvent provoquer une amnésie antérograde qui survient généralement dans les heures suivant la prise du médicament. Chez les patients ayant des antécédents de dépendance, voir rubrique Effets indésirables, Epilepsie Bien que des crises épileptiques puissent survenir après l’arrêt brutal du traitement, le risque est probablement plus élevé avec les benzodiazépines ayant une demi-vie courte. Cela doit être pris en compte chez les patients ayant des antécédents d’épilepsie. Réactions psychiatriques et paradoxales Des réactions telles que nervosité, agitation, irritabilité, agressivité, délire, accès de colère, cauchemars, illusions, hallucinations, symptômes de type psychotiques, comportement inapproprié et autres effets indésirables comportementaux sont associés à l’utilisation des benzodiazépines. Le traitement par PRAZEPAM EG doit être arrêté en cas de survenue de ces réactions paradoxales. Ces réactions sont plus susceptibles de survenir chez les enfants et les sujets âgés. Les benzodiazépines ne sont pas indiquées dans le traitement primaire des troubles psychotiques. Les benzodiazépines ne doivent pas être administrées en monothérapie dans le traitement de la dépression ou de l’anxiété associée à la dépression (car elles peuvent entraîner un risque suicidaire chez ces patients). Alcool Les benzodiazépines doivent être administrées avec une extrême prudence chez les patients ayant des antécédents d’alcoolo-dépendance ou de pharmacodépendance. En ce qui concerne la consommation d’alcool pendant le traitement, voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions, Risque lié à l’utilisation concomitante d’opioïdes L’utilisation concomitante de Prazépam EG peut entrainer une sédation, une dépression respiratoire, un coma et la mort. En raison de ces risques, la prescription simultanée de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou des médicaments apparentés tels que Prazépam EG avec des opioïdes devra être réservée à des patients sans alternatives thérapeutique. S’il est décidé de prescrire Prazépam EG simultanément à des opioïdes, la plus faible dose efficace devra être utilisée, et la durée du traitement devra être aussi courte que possible (voir rubrique Posologie et mode d’administration ) Les patients doivent être suivis de façon rapprochée pour l’apparition de signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. Il est fortement recommandé d’informer les patients et leurs soignants (le cas échéant) d’être attentifs à ces symptômes (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions ). Affections respiratoires Du fait du risque de dépression respiratoire sévère, une dose plus faible est recommandée chez les patients présentant des affections respiratoires chroniques non spécifiques ou une insuffisance respiratoire (voir rubrique Contre-indications ). Lactose PRAZEPAM EG 10 mg, comprimé contient du lactose. Ce médicament est contre-indiqué chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose.
Comment prendre lysanxia pour dormir ?
Combien de gouttes de Lysanxia pour dormir Il est en général préconisé de prendre 10 à 30 mg par jour de Lysanxia en gouttes, à répartir tout au long de la journée, ou à prendre uniquement le soir si vous prenez du Lysanxia pour dormir. Pour l’adulte, le nombre est d’environ 20 à 60 gouttes par jour.
Comment se prendre le lysanxia ?
Voie orale. Avalez ce médicament avec un verre d’eau. La durée du traitement doit être aussi brève que possible et ne devrait pas dépasser 8 à 12 semaines (voir Précautions d’emploi ; mises en garde spéciales). Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien.
Pourquoi prendre un anxiolytique le soir ?
Les anxiolytiques (benzodiazépines) – Dans la famille des, on retrouve le Xanax, l’Ativan, le Valium et le Rivotril, entre autres. Ces anxiolytiques diminuent l’anxiété et apaisent globalement afin d’aider à dormir. Ils offrent un sommeil rapide et très profond, mais peu réparateur.
Quel médicament ne pas prendre avec lysanxia ?
Lysanxia 10 mg, comprimé, boîte de 40
- Mises en garde
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
- TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE
- L’effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l’utilisation de la même dose en cas d’administration durant plusieurs semaines.
- DEPENDANCE
- Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d’utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique.
- Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :
- · durée du traitement ;
- · dose ;
- · antécédents d’autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.
- Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.
- Cet état peut entraîner à l’arrêt du traitement un phénomène de sevrage.
- Certains symptômes sont fréquents et d’apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.
- D’autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.
Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d’action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l’intervalle qui sépare deux prises. Ceci n’est pas attendu avec le prazépam en raison de sa longue demi-vie (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques ).
- L’association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu’en soit l’indication anxiolytique ou hypnotique, d’accroître le risque de pharmacodépendance.
- Des cas d’abus ont également été rapportés.
- PHENOMENE DE REBOND
- Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d’une exacerbation de l’anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés.
- AMNESIE ET ALTERATIONS DES FONCTIONS PSYCHOMOTRICES
- Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d’apparaître dans les heures qui suivent la prise.
- TROUBLES DU COMPORTEMENT
- Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l’état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire :
- Peuvent être observés :
- · aggravation de l’insomnie, cauchemars, agitation, nervosité ;
- · idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique ;
- · désinhibition avec impulsivité ;
- · euphorie, irritabilité ;
- · amnésie antérograde ;
- · suggestibilité.
- Ce syndrome peut s’accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :
- · comportement inhabituel pour le patient ;
- · comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l’entourage tente d’entraver l’activité du patient ;
- · conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.
- Ces manifestations imposent l’arrêt du traitement.
- RISQUE D’ACCUMULATION
- Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l’organisme pour une période de l’ordre de 5 demi-vies (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques ).
Chez des personnes âgées ou souffrant d’insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s’allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d’équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé.
- Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique Posologie et mode d’administration ).
- SUJET AGE
- Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d’effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population.
- RISQUE LIE A L’UTILISATION CONCOMITANTE D’OPIOÏDES
L’utilisation concomitante de LYSANXIA et d’opioïdes peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. En raison de ces risques, la prescription concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou médicaments apparentés, tels que LYSANXIA avec des opioïdes doit être réservée aux patients pour lesquels d’autres options thérapeutiques ne sont pas possibles.
- Les patients doivent être suivis de près pour surveiller la survenue de signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation.
- À cet égard, il est fortement recommandé d’informer les patients et leurs soignants afin qu’ils connaissent ces symptômes (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions ).
- Précautions d’emploi
- La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’alcoolisme ou d’autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions ).
- CHEZ LE SUJET PRESENTANT UN EPISODE DEPRESSIF MAJEUR
- Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire.
- MODALITES D’ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT
- Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.
- Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d’un phénomène de rebond, afin de minimiser l’anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive.
- Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase.
- ENFANT
Plus encore que chez l’adulte, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible. L’utilisation du prazépam n’est pas recommandée chez l’enfant.
- SUJET AGE, INSUFFISANT RENAL OU INSUFFISANT HEPATIQUE
- Le risque d’accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié par exemple (voir rubrique Mises en garde et précautions d’emploi Mises en garde).
- INSUFFISANT RESPIRATOIRE
- Chez l’insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l’effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d’autant que l’anxiété et l’agitation peuvent constituer des signes d’appel d’une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).
: Lysanxia 10 mg, comprimé, boîte de 40
Quelle différence entre Lexomil et lysanxia ?
Donormyl ou Lexomil – Lexomil ou Donormyl ? Le Lexomil est un anxiolytique de la famille des benzodiazépines, alors que le Donormyl est un antihistaminique hypnotique, employé comme un somnifère. Le Lexomil est prescrit pour lutter contre les troubles anxieux sévères et pour aider les insomniaques dont les troubles du sommeil sont liés à l’anxiété.
Le Donormyl est utilisé contre l’insomnie, car l’antihistaminique qui le constitue possède des propriétés sédatives. Les substances actives des deux médicaments sont différentes : celle du Donormyl est la Doxylamine et celle du Lexomil est le Bromazépam. Par ailleurs, leurs demi-vies ne sont pas les mêmes : celle du Donormyl est d’environ 2 heures, alors que celle du Lexomil est comprise entre 11 et 27 heures.
En tant que benzodiazépine, le Lexomil est un psychoactif qui agit sur le système nerveux central pour apaiser et réduire le stress. Il possède de nombreux effets indésirables ainsi que des risques de dépendance et d’accoutumance.
Est-ce que le lysanxia donne des palpitations ?
Prazépam – Lysanxia
Fiche patient |
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Les symptômes de l’anxiété : malaises, palpitations, tremblements, peurs, angoisses, maux de ventre, gorge serrée, insomnie Les anxiolytiques sont indiqués : Dans l’anxiétéLe sevrage alcooliqueEn association avec un antidépresseur en début d’une dépressionLors d’un état d’agitationDans certains troubles du sommeil Les médicaments ne sont pas les seuls traitements dans l’anxiété : PsychothérapiesTechniques de relaxationBonne hygiène de vie (sport, rythme de vie régulier, pas de consommation d’excitants comme le café, le thé, le tabac, l’alcool) Le traitement de l’anxiété ne nécessite pas systématiquement un traitement par anxiolytiquesLes anxiolytiques sont des médicaments agissant sur le cerveau et présentent des risques : Somnolence à risque d’accidents de la route Difficultés de concentrationTroubles de la mémoire Ils peuvent générer une dépendance (besoin impérieux de prendre le médicament) ou une accoutumance /tolérance (adaptation progressive de l’organisme au médicament entrainant une augmentation des doses pour obtenir le même effet)L’association avec l’alcool, les drogues ou autres médicaments, augmente ces risquesIl faut respecter les doses prescrites et le nombre de prisesÉviter l’automédication : à prendre seulement sous prescription médicaleTraitement le plus bref possible : dès le début du traitement, le médecin envisagera la durée de traitement et les modalités de l’arrêtIl est important de revoir votre médecin régulièrement pour évaluer votre état de santéNe pas arrêter vous-même le traitement : l’arrêt est une décision médicale !L’arrêt brutal d’un traitement au long court peut entrainer un état de manque ou syndrome de sevrage (palpitations, tremblements, insomnie)Il faut diminue r les doses progressivement pour éviter l’effet rebond (minimiser l’anxiété)Ne pas réutiliser vos médicaments : les rapporter à la pharmacie à la fin du traitement Informer les autres professionnels de santé de la prise de ce traitement Chez tout patient traité quotidiennement > 30 jours, il est recommandé de proposer une stratégie d’arr êt de la consommation de BZD ou de médicaments apparentés. Au moment d’entreprendre un arrêt, il convient d’évaluer les attentes du patient, son degré « d’attachement » aux benzodiazépines, pour aboutir à une décision partagée et évaluer les facteurs pronostiques. Le médecin peut s’appuyer sur les items du questionnaire ECAB La tenue d’un agenda de sommeil et/ou d’un calendrier de décroissance posologique (avec relevé des symptômes inhabituels) peut également être utile et proposéeL’arrêt doit toujours être progressif, sur une durée de quelques semaines à plusieurs mois Si l’objectif de la démarche est l’arrêt, l’obtention d’une diminution de posologie doit déjà être considérée comme un résultat favorable. |
Prazépam – Lysanxia
Puis-je prendre 2 prazépam ?
Ne prenez pas de dose double de PRAZEPAM EG 10 mg, comprimé pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Vous ne devez en aucun cas arrêter brutalement de prendre PRAZEPAM EG 10 mg, comprimé, et notamment en cas de traitement de longue durée.
Est-ce que le prazépam est un antidépresseur ?
Ce médicament est un anxiolytique (tranquillisant) de la famille des benzodiazépines. Il est utilisé dans le traitement de l’anxiété lorsque celle-ci s’accompagne de troubles sévères gênants (anxiété généralisée, crise d’angoisse) et dans le cadre d’un sevrage alcoolique.
Quelle heure prendre les antidépresseurs ?
Respecter la prescription des antidépresseurs – Un traitement antidépresseur doit être mis en place progressivement afin d’identifier la dose optimale pour le patient. Des effets indésirables peuvent apparaître au début du traitement, dont la plupart disparaissent en quelques semaines.
Comment prendre lysanxia 15 mg ?
Posologie pour LYSANXIA 15 mg/mL gtt buv Maximum 60 gouttes par jour.30 mg par jour à répartir en plusieurs prises pendant 10 jours. Maximum 30 mg par jour. ou 60 gouttes par jour à répartir en plusieurs prises pendant 10 jours.
Comment prendre lysanxia 15mg ?
Chez l’adulte : en pratique courante, 10 à 30 mg par jour répartis en plusieurs prises au cours de la journée, soit 20 à 60 gouttes par jour. Chez l’enfant, le sujet âgé, l’insuffisant rénal ou l’insuffisant hépatique : il est recommandé de diminuer la posologie, de moitié par exemple.
Est-ce que le lysanxia est un antidepresseur ?
Ce médicament est un anxiolytique (tranquillisant) de la famille des benzodiazépines. Il est utilisé dans le traitement de l’anxiété lorsque celle-ci s’accompagne de troubles gênants (anxiété généralisée, crise d’angoisse) et dans le cadre d’un sevrage alcoolique.
Quels sont les effets secondaires de lysanxia ?
Amnésie antérograde. Asthénie, irritabilité, agressivité, agitation. Sédation, somnolence, troubles du comportement, confusion, insomnie, cauchemards.
Quelle est la durée de vie du lysanxia ?
La demi-vie d’élimination plasmatique du prazépam varie de 30 à 150 heures (en moyenne 65 heures). L’état d’équilibre des concentrations plasmatiques est atteint en 10 à 15 jours.
Comment prendre lysanxia 15 mg ?
Posologie pour LYSANXIA 15 mg/mL gtt buv Maximum 60 gouttes par jour.30 mg par jour à répartir en plusieurs prises pendant 10 jours. Maximum 30 mg par jour. ou 60 gouttes par jour à répartir en plusieurs prises pendant 10 jours.
Comment prendre lysanxia 15mg ?
Chez l’adulte : en pratique courante, 10 à 30 mg par jour répartis en plusieurs prises au cours de la journée, soit 20 à 60 gouttes par jour. Chez l’enfant, le sujet âgé, l’insuffisant rénal ou l’insuffisant hépatique : il est recommandé de diminuer la posologie, de moitié par exemple.
Quel médicament ne pas prendre avec lysanxia ?
Lysanxia 10 mg, comprimé, boîte de 40
- Mises en garde
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
- TOLERANCE PHARMACOLOGIQUE
- L’effet anxiolytique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l’utilisation de la même dose en cas d’administration durant plusieurs semaines.
- DEPENDANCE
- Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d’utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique.
- Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance :
- · durée du traitement ;
- · dose ;
- · antécédents d’autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.
- Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé.
- Cet état peut entraîner à l’arrêt du traitement un phénomène de sevrage.
- Certains symptômes sont fréquents et d’apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité.
- D’autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions.
Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d’action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l’intervalle qui sépare deux prises. Ceci n’est pas attendu avec le prazépam en raison de sa longue demi-vie (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques ).
- L’association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu’en soit l’indication anxiolytique ou hypnotique, d’accroître le risque de pharmacodépendance.
- Des cas d’abus ont également été rapportés.
- PHENOMENE DE REBOND
- Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d’une exacerbation de l’anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés.
- AMNESIE ET ALTERATIONS DES FONCTIONS PSYCHOMOTRICES
- Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d’apparaître dans les heures qui suivent la prise.
- TROUBLES DU COMPORTEMENT
- Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l’état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire :
- Peuvent être observés :
- · aggravation de l’insomnie, cauchemars, agitation, nervosité ;
- · idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique ;
- · désinhibition avec impulsivité ;
- · euphorie, irritabilité ;
- · amnésie antérograde ;
- · suggestibilité.
- Ce syndrome peut s’accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :
- · comportement inhabituel pour le patient ;
- · comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l’entourage tente d’entraver l’activité du patient ;
- · conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.
- Ces manifestations imposent l’arrêt du traitement.
- RISQUE D’ACCUMULATION
- Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l’organisme pour une période de l’ordre de 5 demi-vies (voir rubrique Propriétés pharmacocinétiques ).
Chez des personnes âgées ou souffrant d’insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s’allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d’équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé.
- Une adaptation posologique peut être nécessaire (voir rubrique Posologie et mode d’administration ).
- SUJET AGE
- Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d’effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population.
- RISQUE LIE A L’UTILISATION CONCOMITANTE D’OPIOÏDES
L’utilisation concomitante de LYSANXIA et d’opioïdes peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. En raison de ces risques, la prescription concomitante de médicaments sédatifs tels que les benzodiazépines ou médicaments apparentés, tels que LYSANXIA avec des opioïdes doit être réservée aux patients pour lesquels d’autres options thérapeutiques ne sont pas possibles.
- Les patients doivent être suivis de près pour surveiller la survenue de signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation.
- À cet égard, il est fortement recommandé d’informer les patients et leurs soignants afin qu’ils connaissent ces symptômes (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions ).
- Précautions d’emploi
- La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’alcoolisme ou d’autres dépendances, médicamenteuses ou non (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions ).
- CHEZ LE SUJET PRESENTANT UN EPISODE DEPRESSIF MAJEUR
- Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire.
- MODALITES D’ARRET PROGRESSIF DU TRAITEMENT
- Elles doivent être énoncées au patient de façon précise.
- Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d’un phénomène de rebond, afin de minimiser l’anxiété qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive.
- Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase.
- ENFANT
Plus encore que chez l’adulte, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible. L’utilisation du prazépam n’est pas recommandée chez l’enfant.
- SUJET AGE, INSUFFISANT RENAL OU INSUFFISANT HEPATIQUE
- Le risque d’accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié par exemple (voir rubrique Mises en garde et précautions d’emploi Mises en garde).
- INSUFFISANT RESPIRATOIRE
- Chez l’insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l’effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d’autant que l’anxiété et l’agitation peuvent constituer des signes d’appel d’une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs).
: Lysanxia 10 mg, comprimé, boîte de 40