C’est quoi la ruche qui dit oui ?
La Ruche qui dit Oui! est un service web qui donne des ailes aux circuits courts. La plateforme de vente en ligne favorise les échanges directs entre Producteurs locaux et communautés de consommateurs qui se retrouvent régulièrement lors de véritables marchés éphémères.
Qui se cache derrière la ruche qui dit oui ?
2010 : Et un jour vint l’idée – Après avoir germé dans la tête du designer Guilhem Chéron, la Ruche qui dit Oui ! prend forme dans la société Equanum créée avec deux associés, Marc-David Choukroun et Mounir Mahjoubi.
Qui sont les clients de la ruche qui dit oui ?
Étude de cas marketing La Ruche qui dit Oui ! (SWOT, mix.) Le groupe compte aujourd’hui 10 000 producteurs et 225 000 distributions partout en France depuis sa création. Le nombre de clients réguliers s’élève de plus à 210 000. En moyenne, les produits parcourent 65km pour arriver à leur destinataire.
- Ce sont par ailleurs plus de 250 millions d’euros qui ont déjà été reversés aux producteurs, qui perçoivent 80% des revenus.
- Depuis ses débuts, La Ruche qui dit Oui ! a fait l’objet de plus de 10 000 articles de presse et 250 000 visites par mois sur le site oui ! En outre, l’entreprise totalise également 350 000 fans sur le réseau social Facebook.
Depuis 2020, notons de plus que le groupe a développé son propre réseau de magasins physiques, avec un volume d’affaires de 110 millions d’euros en 2020. Le chiffre d’affaires s’élève quant à lui à 15 millions d’euros en 2020, contre 7 millions l’année précédente.
Si les producteurs gagnent 80% des revenus, les responsables de ruches gagnent quant à eux 8.37% et l’entreprise en elle-même les 11.65% qu’il reste. Le concept est présent dans 7 pays, qui sont la France, l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne, la Suisse, les Pays-Bas et la Belgique. Le panier moyen en 2021 est de 50 euros, mais il dépend des régions et des ruches.
La crise sanitaire a permis un gain de 12 000 clients supplémentaires.
- Les forces
La principale force du groupe est sa notoriété, qui a évolué de manière spectaculaire aux yeux du public en l’espace de quelques années seulement. L’entreprise reflète en effet des valeurs sociétales qui plaisent au plus grand nombre et qui correspondent aux tendances du moment.
- En effet, privilégier les producteurs et être dans une mouvance plus éco-responsable est quelque chose qui entre en accord avec les attentes des consommateurs, et d’autant plus depuis l’apparition de la pandémie dans le monde.
- En outre, il s’agit d’un prestataire de services et non pas d’un intermédiaire, ce qui contribue à le rendre plus populaire auprès de la clientèle.
Le site web est ludique, facile d’accès et aisément compréhensible pour tous. Enfin, le groupe est très actif sur les réseaux sociaux.
- Les faiblesses
Pour certains réfractaires, la distribution peut paraître parfois occasionnelle avec des créneaux qui sont jugés trop courts. De plus, les prix sont relativement élevés dans certaines ruches et les consommateurs doivent vraiment comparer toutes les ruches à proximité de leur logement pour trouver celle qui va proposer les meilleurs tarifs.
Le cadre légal est par ailleurs assez mal défini, et le suivi des ruches quasiment inexistant. Les opportunités Les politiques représentent un support important, puisque l’une des priorités aux élections est bien de protéger et d’aider les producteurs dans leurs affaires. Protéger l’environnement en évitant les circuits trop longs est donc entré dans les tendances et plus de 60% des consommateurs aiment à consommer des produits locaux.
La crise sanitaire, et plus particulièrement les confinements successifs ont développé aussi cette tendance de se faire livrer les fruits et les légumes ainsi que des produits frais directement à domicile et cela est resté ancré dans les habitudes. Le groupe présente en outre un grand nombre de projets innovants et les transactions sont traitées en toute transparence, ce qui favorise la confiance des consommateurs.
- Les menaces
La Ruche qui dit Oui ! a parfois été attaquée par des groupes de pression ou des AMAP, Association pour le Maintien de l’Activité Paysanne, qui leur reproche de s’associer à eux alors qu’il s’agit d’un concept différent. De plus, même dans le monde du bio et des produits naturels, il est arrivé que des scandales alimentaires éclatent et ruinent la réputation des entreprises de ce type.
- Les nouveaux entrants
La menace est plutôt faible, les barrières à l’entrée sont de plus en plus fortes. En effet, nous parlions plus haut des normes plus strictes, qui peuvent aisément décourager les potentiels nouveaux entrants sur le marché. Les acteurs en place sont de plus déjà très nombreux, il est donc compliqué de se positionner en haut du segment pour une durée suffisante pour être parfaitement rentable.
- Les produits de substitution
La menace est ici très forte, le secteur est en effet très concurrencé. Le nombre d’acteurs avec des positionnements certes très différents, mais qui comblent les mêmes attentes pour les consommateurs est très élevé, ce qui contribue à augmenter d’autant plus les produits de remplacement.
- Le pouvoir de négociation des fournisseurs
La menace est relative, dans le cas de La Ruche qui dit Oui !, les fournisseurs sont des acteurs à part entière, et l’entreprise travaille en total partenariat avec eux. Il est en effet dans l’intérêt de chacun des partenaires que les produits plaisent aux clients et soient en adéquation avec les attentes de chacun.
- Le pouvoir de négociation des clients
Le pouvoir des clients est très haut dans le cas de La Ruche qui dit Oui !. En effet, plus la concurrence est active, et plus ce pouvoir augmente, surtout dans le cas des produits, qui sont de plus en plus prisés et par les acteurs et par les clients.
- La concurrence existante
La menace est très élevée, la concurrence étant très vaste. Entre les enseignes spécialisées en produits bio, les fermes qui vendent elles-mêmes leurs produits et les grandes surfaces qui proposent des marques distributeurs issues de l’agriculture biologique, La Ruche qui dit Oui ! possède un grand nombre de rivaux.
- Les produits
L’entreprise propose divers types de produits, des fruits et légumes, mais aussi de la crèmerie, boulangerie, viandes et de l’épicerie. Il s’agit de produits 100% locaux, chaque région propose ses propres produits et spécialités. Le groupe propose également des coffrets cadeaux et des huiles essentielles.
- Les prix
Ils sont relativement élevés, mais comme nous l’avons dit plus haut, chaque producteur peut fixer librement ses tarifs, d’où la nécessité de comparer les ruches.
- La communication
La Ruche qui dit Oui ! est présente sur internet par le biais de son site, mais aussi sur les réseaux sociaux. Avec des milliers d’abonnés sur Facebook, l’entreprise peut ainsi rester en contact avec les internautes et répondre aux questions des consommateurs.
La communication passe par une proximité avec l’acheteur. La distribution Les clients peuvent commander leurs produits sur internet, aller les chercher directement à la ruche ou bien être livrés. La présence de magasins physiques depuis l’année dernière a rajouté un canal de distribution et permis de générer de nouveaux clients, tous ceux qui n’aiment pas commander sur internet.
Cela a permis d’élargir la clientèle du groupe et de gagner en notoriété. La Ruche qui dit Oui ! est un concept qui par conséquent a beaucoup de succès en France, mais également en Europe. L’entreprise répond à une demande qui s’est exacerbée depuis l’apparition dans le monde de la crise sanitaire.
Comment s’inscrire à la ruche qui dit oui ?
Pour ouvrir un compte Producteur, depuis la page d’accueil du site la Ruche qui dit Oui! cliquez sur le lien Fournir les Ruches affiché en haut et à droite. Un premier message vous accueillera pour vérifier que vous possédez bien un numéro de Siren.
Quel est l’origine du mot ruche ?
Étymologie. ( XIII e siècle) Du bas latin rūsca (« écorce »), du gaulois * rûsko (→ voir rusk en breton, gallois rhisgl, irlandais rusg). L’occitan a rusca (« écorce »), le catalan a rusc (« écorce de chêne-liège, ruche »).
Pourquoi la ruche est vide ?
6 – Un problème de nourriture ? – Des ressources insuffisantes peuvent pousser une colonie, ou une partie, à déserter la ruche.
Si la ruche ne contient pas assez de miel et de pollen lorsque l’hiver arrive, la colonie n’aura pas assez de ressources pour survivre à l’hiver. On pourra voir après coup des cadres vides de miel et de pollen, et la reine parmi les abeilles restantes mortes. Un nourrissage peut être apporté lorsque les ruches sont trop peu garnies. Un pesage de chaque ruche est recommandé vers le début de l’automne, suivi d’un apport de sirop si besoin (chaque colonie doit disposer de 12 à 15 kg de miel. Si le pesage a lieu un peu trop tard, le nourrissage ne pourra se faire qu’avec du candi, les abeilles ne prendront pas autre chose en période froide. Il peut également arriver qu’il y ait au contraire trop de nourriture, Dans ce cas les conséquences seront décalées au printemps, lorsqu’il n’y aura pas assez de place pour la ponte. La ruche va alors commencer à s’affaiblir et à se dépeupler faute de naissances. Si la ruche pèse trop lourd et que les cadres sont trop chargés, il faut en enlever quelques uns pour laisser la place au futur couvain. On profite souvent de cette manne pour renflouer les ruches trop pauvres. C’est à la fin de l’été et au début de l’automne que la reine pond les abeilles d’hiver. Si les ruches sont placées loin de toute floraison, ou que le pollen est peu qualitatif, la reine ne pondra pas du fait du déficit en pollen et n’aura donc pas de grappe disponible pour assurer la survie de la colonie. Ce sont les bruyères, lierre, châtaignier et autres fleurs d’automne qui assurent ces ressources. Assurez-vous d’installer vos ruches à proximité de ces plantes ou de réaliser un nourrissage.
À savoir : les abeilles peuvent vouloir déserter en cas de disette permanente, mais elles le font rarement s’il n’y a pas assez de nourriture pour le voyage. Un nourrissage à ce moment peut du coup être un déclencheur.
Pourquoi la reine sort de la ruche ?
Au bout de quelques jours, elle s’envole pour être fécondée : c’est le vol nuptial. La reine connaît plusieurs accouplements avec différents mâles, les faux-bourdons. Lorsque sa spermathèque est pleine, elle retourne dans la ruche, dont elle ne sortira plus.
Quel est le rôle de la reine dans la ruche ?
Le rôle de la reine durant sa vie est de pondre. Alors que les butineuses s’acharnent à trouver du bon nectar et à nourrir la colonie et la reine elle-même. Cette vie, longue en moyenne de 5 années, aura servi à pondre plus d’un millions d’œufs.
Comment est choisi la reine dans une ruche ?
Comment devenir reine ? – En période d’essaimage ou à la mort de la précédente reine, les abeilles vont choisir entre 3 et 5 larves, afin que l’une d’elles devienne leur reine. Au départ, tous les œufs sont identiques ; la reine et les ouvrières partagent donc les mêmes gènes.
- Toutefois, la première accédera au trône et dirigera la colonie, tandis que les autres travailleront sous les ordres de cette dernière pour son bien-être.
- Ainsi, l’avenir des abeilles est déterminé par la nourriture qu’elles reçoivent dès l’éclosion.
- La plupart des larves sont nourries à la gelée royale pendant les 3 premiers jours de leur vie, puis adoptent une alimentation à base de miel et de pollen.
Les reines, quant à elles, sont nourries exclusivement à la gelée royale de leur naissance à leur mort. Cet aliment particulier, aussi appelée lait d’abeilles, est une substance gélatineuse, de couleur blanche aux reflets nacrés. Secrétée par les jeunes abeilles de la ruche, elle est produite par mélange de pollen et d’une sécrétion issue de glandes contenues dans leurs têtes (hypopharyngiennes et mandibulaires). Gelée royale
Qui fait le miel dans la ruche ?
COMMENT FAIT-ON DU MIEL? – Les abeilles butinent soit des fleurs en particulier (lavande, thym, romarin), soit toute variété de fleurs en montagne. En fonction du lieu où se trouve leur ruche, différents types de miel sont créés. En butinant une fleur, l’abeille récolte son nectar qu’elle assèche en le déshumidifiant et qu’elle travaille pour le transformer en miel.
- C’est ensuite en arrivant à l’entrée de la ruche, qu’elle passe ce nectar travaillé aux autres abeilles avant de partir en re-chercher.
- A l’intérieur de la ruche, l’apiculteur insère une feuille de cire dont les abeilles se servent en construisant des alvéoles.
- Une fois qu’une alvéole est pleine de miel, les abeilles la ferme avec de la cire.
Une fois que toutes les alvéoles sont fermées, Vincent vient récupérer la grille de laquelle il enlève les opercules de cire. Le tout est inséré dans une grosse centrifugeuse qui extrait alors le miel. Arrive enfin la phase de filtrage du miel. Le miel est laissé au repos pendant 15 jours à 3 semaines, le temps qu’il devienne mature et que les bulles d’air remontent à la surface.
Comment communiqué les abeilles entre elle ?
Les phéromones, une communication chimique – Les abeilles communiquent entre elles grâce à des signaux chimiques, appelés des phéromones, Selon la situation, les abeilles libèrent des phéromones dites :
d’alerte pour empêcher l’invasion de la ruche par un prédateur. de cohésion pour former en ordre et dans le calme une nouvelle colonie. royales, libérées uniquement par la Reine. L’une lui permet de régner sur tous ses sujets. Elle lui sert en effet à attirer les mâles et à castrer chimiquement les ouvrières, car la Reine veut être la seule à pondre. Ce signal chimique génère aussi un comportement de cour autour de la Reine : les ouvrières la nourrissent et la nettoient.
Qui vit dans la ruche ?
Au sein d’une ruche, des milliers d’abeilles cohabitent et s’entraident pour un seul but commun : la survie de la colonie. La reine, les ouvrières et les faux-bourdons possèdent chacun leurs particularités et doivent alors assumer des tâches bien distinctes.
Comment remplir une ruche ?
Ruche piège à partir d’une ruche neuve – Comment attirer un essaim dans une ruche neuve ? Une ruche piège se constitue habituellement d’un corps de ruche Dadant 10 cadres ou bien d’une ruchette 6 cadres ainsi que de tous les éléments qui la composent : un plancher, un corps avec des fixe-éléments, une entrée, un couvre-cadres et un toit tôle.
Notez que si vous faites le choix d’une ruchette, vous devrez capturé dans votre ruche. Pour remplir votre ruche piège, il est préférable de se munir d’au moins deux cadres de cire noircie, Ils s’avéreront plus efficaces que de simples cadres neufs ou de cire gaufrée pour amorcer le piégeage. Les cadres neufs qui composent le reste de la ruche sont frottés à la propolis.
L’intérieur du corps de ruche est badigeonné d’ eau miellée et de propolis. L’odeur de la propolis s’imprègne très bien dans le bois, elle est la principale différence entre une ruche neuve et une plus ancienne. Finalement, les têtes de cadres ainsi que l’entrée sont enduits d’attire-essaims en pommade.
Une fois ces préparations terminées, la ruche est fermée et transportée à l’emplacement choisi pour la capture d’abeilles. Si vous souhaitez placer une ruche piège en dehors de votre rucher, pensez que cette dernière doit être transportable. Préférez une entrée de ruche qui peut se placer en position fermée.
Le plancher doit être fixé au corps grâce à des fixe-éléments afin de soulever la ruche sans problème. Ainsi vous saurez comment attirer un essaim dans une ruche neuve.
Comment est une ruche ?
La colonie d’abeilles Les abeilles vivent en colonie et sont très organisées. C’est une véritable entreprise qui est centrée autour de la reine dont le rôle principal est de pondre, pondre et encore pondre. La ruche est composée de 50 000 ouvrières dont le rôle est de nourrir les larves, construire les alvéoles de cire, protéger la ruche etcet pour compléter cette organisation, il y a quelques paresseux : des faux-bourdons.
Qui fait la ruche ?
L’abeille commence en bas de l’échelle et a pour rôle de maintenir la ruche propre en enlevant tous les petits débris : pollen, nymphes, etc Du jour 1 au jour 3, elle a le rôle d’abeille nettoyeuse.
Qui a inventé la ruche ?
Lorenzo Langstroth identifia le fameux ‘espace à abeilles’ et construisit les premières ruches à cadres mobiles dans les années 1850. Grâce à lui, les abeilles pouvaient désormais construire leurs rayons sur des cadres que les humains avaient la possibilité de manipuler et de déplacer.
Pourquoi les abeilles dansent devant la ruche ?
La danse des abeilles, un moyen de communiquer La danse des abeilles est un manière de communiquer pour les abeilles butineuses ou exploratrices. Celles-ci représentent environ 5 à 25 % de la colonie et sont souvent les plus âgées et les plus expérimentées.
C’est l’ethnologue Autrichien (1886-1982), dans son ouvrage Vie et mœurs des abeilles qui a décrypté les différents modes de communication des abeilles. La danse permet aux butineuses de transmettre la distance et la direction de la source de nourriture afin que celles qui vont partir butiner trouvent facilement le nectar et le pollen des fleurs nécessaires à la production de miel.
Suite à cette découverte, plus de 1528 danses des abeilles ont été analysées.
Pourquoi les abeilles sont mortes devant la ruche ?
Abeilles mortes devant mes ruches
bonjourqui saurait me dire se qui s’est passé devant mes 3 ruches? Énormément d’abeille morte voir photosruche forte sur 2 corps et hausse à miel merci de vos réponses cordialement RaymondEn conclusion, après plusieurs échanges avec différentes personnes, l’origine de ce problème semble être « un coup de chaud » dans les ruches. La question d’Alexis Ballis sur la chaleur et l’isolation de la ruche a fini par nous mettre sur une piste probable.
Les ruches sont populeuses, voire très populeuses. Aux heures les plus chaudes de la journée les ruches sont totalement exposées au soleil. Mais cela n’explique pas cette soudaine mortalité. Il a déjà fait très chaud ces dernières semaines et rien de tel n’a été observé.
Si on ajoute le fait que le plancher, pour comptage des varroas, a été installé sur ces ruches quelques jours avant l’observation de cette mortalité, il est plausible de penser que la forte chaleur et le manque de circulation d’air du fait du plancher qui occulte le fond grillagé, sont à l’origine de la mortalité constatée.
D’ailleurs, après retrait des planchers, le phénomène semble avoir pratiquement disparu. C’est peut-être l’explication. Néanmoins, nous allons continuer à suivre de près ce qui se passe sur ces ruches. PS: extrait du billet, quand le plancher est installé, la circulation d’air dans la ruche est réduite.
Quand il fait très chaud, la ruche est moins ventilée naturellement, c’est donc plus de travail pour les abeilles. Quand il fait plus froid et humide, l’humidité au sein de la ruche a plus de mal à se résorber et demande éventuellement plus de travail aux abeilles. Dans ces conditions, laisser le plancher pendant une trop longue période ne nous semble pas souhaitable.
Il faut donc planifier et adapter le comptage en fonction des conditions météo.
Pourquoi les abeilles abandonnent la ruche ?
En mai, l’abeille fait ce qui lui plaît – C’est généralement en avril que les essaimages commencent, mais au mois de mai que tous les essaims sont disposés à partir et s’installer dans une nouvelle ruche naturelle ou artificielle. Parce que les abeilles sont très dépendantes des conditions météorologiques, elles ne quittent la ruche pour former un nouvel essaim que par une belle après-midi ensoleillée, après avoir empli leur estomac de toute la nourriture qu’elles pouvaient ingurgiter pour être prêtes à se passer de ruche pendant trois jours, s’il le faut.
Qui vit dans la ruche ?
Au sein d’une ruche, des milliers d’abeilles cohabitent et s’entraident pour un seul but commun : la survie de la colonie. La reine, les ouvrières et les faux-bourdons possèdent chacun leurs particularités et doivent alors assumer des tâches bien distinctes.
Comment est une ruche ?
La colonie d’abeilles Les abeilles vivent en colonie et sont très organisées. C’est une véritable entreprise qui est centrée autour de la reine dont le rôle principal est de pondre, pondre et encore pondre. La ruche est composée de 50 000 ouvrières dont le rôle est de nourrir les larves, construire les alvéoles de cire, protéger la ruche etcet pour compléter cette organisation, il y a quelques paresseux : des faux-bourdons.
Qui fait la ruche ?
L’abeille commence en bas de l’échelle et a pour rôle de maintenir la ruche propre en enlevant tous les petits débris : pollen, nymphes, etc Du jour 1 au jour 3, elle a le rôle d’abeille nettoyeuse.
Qui vit dans une ruche ?
Le « clairon des abeilles » appelé aussi « loup des abeilles». Sa larve se développe dans les ruches mal entretenues, dans les nids d’abeilles solitaires, ou les colonies sauvages où elle se nourrit de larves. Elle peut faire de gros dégâts. On peut citer aussi le «cétoine» ou «scarabée», qui aime le miel.